jeudi 28 avril 2011

Pourquoi les femmes de notre époque manquent-elles de féminité ?

Ah, mes petits amis à la prostate généreuse, c'est malheureusement vrai ! Les radasses contemporaines sont quelque peu amputées du coté de la distinction, atrophiées de la classe, nulles de la retenue pour ne pas dire carrément castrées de la pinup. Ah, vous le savez aussi bien que moi, la touffe moderne a légèrement tendance à se la péter du style : « Je suis l'égale de l'homme, par voie de conséquence j'ai le droit de me gratter les couilles, de péter au lit, de dire des grossièreté pendant la saillie... » Mais où va-t-on bordel du Tyrol ? Je vous le demande camarade burnés : est-ce qu'on va se laisser marcher longemps comme ca sur le gland ? Il faut savoir dire non ! Il faut que ça s'arrête ! Dans votre poche, cette sale bouche il va falloir cacher. Si vous etes moches comme des souches, il faut pas nous saouler ! Faites attention radasses, il ne faut pas confondre "émancipation de la touffe à n'importe quel prix faisant n'importe quoi" et "dégradation de la pouf sinon on fini goumi dans la boite à caca" !

Toutes ces connasses revêches me dégoûtent, m'indisposent, toute cette vulgarité me rend la main morose.
Moralité (car il y en a une) :
 
Retrouvez la fraicheur, la spontanéité,
En étant trop vulgaire vous manquez de péter,
"Dans l'cul la balayette"
Vous reprenez en cœur,
De moins en moins de baguette
Vous prendrez dans le valseur,
Nous sommes complémentaires,
Sachons donc nous entendre,
Souriez pour mieux nous plaire,
On vous remettra la viande,
Mesdames, mesdemoiselles, radasses et cul de vautour,
A vouloir salir l'homme on fait faner l'amour.

Merci.

lundi 25 avril 2011

Pourquoi "Voilà du boudin" ?


Ah mes amis. En voilà une question qui, bien que charcutière , n'en est pas moins intéressante. Vous savez très bien, vous comme moi, que le folklore est le fruit de l'expérience de ses aînés. Il se trouve que chez le légionnaire, le boudin est, malheureusement, une constante qu'il traîne à la patte, comme certains forçats, un boulet. Le légionnaire est un homme réduit à sa plus simple expression. Il est façonné pour résister, pour tuer et pour la patrie. Qui dit patrie, dit assurer sa pérennité. Et qui dit pérennité, dit assurer la nouvelle génération. D'où le souci de se reproduire.

Mais qui souhaiterai se reproduire avec un légionnaire ? A part Edith Piaf, qui rêvait de sable chaud dans la raie des fesses sous les coup de boutoir d'un barbu en treillis, personne !! Il faut dire que, s'imaginer assurer la descendance d'une bête au crane rasé avec trois de QI sous le scalp, c'est risqué. De plus, avec le rythme de vie qu'il mène, il y a de forte chance qu'il vous mette une peignée, une fois sa décharge militaire envoyée au front. Enfin, au front, c'est une image.

Moralité :

Seul le boudin accepte les humeurs du bourrin.
Crois-en mon expérience, je connais Daniel Morin.

Merci.


Copyright photo : http://www.xn--lgion-trangre-asso-1vbjf.com/forum/member.php?u=2

dimanche 24 avril 2011

Pourquoi la quête des Graals est sans fin ?

Ah ! Mes amis, je suis particulièrement jouasse que vous vous soyez rendu compte que les quêtes de type « chatte à pattes » sont comparables à celle du Graal. Sans fin et depuis la nuit des temps, l'Homme est à la recherche de la femme idéale.

Quelle soit à pattes, à poils, à plumes, elle existe, elle est parfaite et elle est quelque part. alors pourquoi n'y arrive-t-on jamais ? Eh bien tout simplement mes amis, elle est virtuelle et différente pour chacun d'entre nous. Nous sommes tous, plus ou moins d'accord sur quelques modèles comme Lara Croft ou Pamela Anderson (ou Linda Lorin pour certains). Mais est-ce que ces nymphes conviendraient à tous les hommes ? Je n'en suis pas sûre pour la simple raison que ce qui peut faire déshabiller Paul peut inciter Jacques à se rhabiller.

Il n'est qu'une vérité, et celle-ci me servira de moralité : 

Lorsque le cœur bat plus fort que le nœud, 
Il y a autant de femmes que de pièges amoureux.
Quand tu as trouvé la bonne, crois-moi, tu es au courant.
Même sans être Anderson, elle te rend flageoleant.
Elle laisse peut être les autres froids et indifférents,
Mais toi, elle t'électrise, elle t'enflamme le gland.

Merci.

Pourquoi fait-il sauver les fonds marins ?

Ah, mes amis au crustacé généreux, c'est un thème que j'ai à cœur ! Vous n'ignorez pas que depuis longtemps, l'aventure terrestre est une voie sans issue. Où aller, quoi faire ? Peu de gens le savent.

Et pourtant le solution n'est pas loin, elle est presque sous vos yeux. Tous les ans, vous comme moi, nous nous déplaçons vers les côtes ensoleillées. Pourquoi, me direz-vous ? Et bien il doit y avoir une raison. Et cette raison, mes amis, je la connais !

Figurez-vous que 80% de notre surface terrestre est constituée de flotte, et que c'est là que se constitue le salut. Retrouvez l'état originel ! La présence nue et confortable du fœtus bien calé dans maman avec un sentiment de douceur, ce sentiment que l'on retrouve à 16 ans lors de sa première cuite, lorsqu'on se vomit chaudement dessus. Bref, la mer et ses alentours sont à préserver, la clé du salut est sous l'eau, il faut en être conscient. Si Neptune et ses amis n'étaient pas là, pourquoi irions-nous nous faire chier la moule à acheter les masques et les tubas ? Pas pour aller regarder le sable aller et venir sous nos pieds jusqu'à ce que bigorneau s'en suive en tout cas.

La mer et les océans sont à protéger !
On ne peut ignorer leur importance.
Pas plus que l'on ne peut ignorer Prévert et Lacan,
Tous deux nous mettent en transe,
Tous deux nous chauffent le gland.
Souvent des profondeurs acceptons la logique,
Et loin de la torpeur, laissons vaquer nos triques.

Moralité :
L'océan est fragile, la mer est menacée.
La rivière est subtile, le fleuve bouleversé.
Il faut être lucide, car la solution
est en fait liquide, et non dans le béton.
12h c'est à midi, on ne fera jamais mieux.
On est plus épanouï dans le milieu à queues aqueux.

vendredi 22 avril 2011

Pourquoi est-ce que l'on ne peut pas se faire sucer au péage (alors qu'il y a des filles dans les cabines) ?

Mes amis, attention, le souci du péage est un des grands problèmes de ce début de siècle et de la fin du dernier.

Sachez-le mes amis, il est des macadam plus chers à fréquenter
Que de fourrer des dames de luxe et fort payées.
A trop payer des taxes, la route devient amère,
Même quand la direction rime avec balnéaire.
Nous voulons être libre de pouvoir circuler sans payer,
Sans péages, sans vignette et complètement bourrés.
C'est la rentrée des vacances, et j'en profite ici
Pour que l'éducation soit mise sur le tapis.
Cela fait trop longtemps que l'œuvre éducatrice
Fait de nous des cloportes sans âme cicatrice.
Ce système nous endors, nous fatigue, nous hypnose,
Et quand on est adulte, nos nerfs se ménopausent.
Ne perdons pas de temps et enseignons la haine
Aux branleurs écoliers, ces vermines, ces teignes !
Futures générations, ne croisez pas les bras !
Refusez donc les taxes, engagez le combat.
Bien souvent le pouvoir nous joue un air de flûte
pour mieux nous endormir, ah les lâches, ah les putes !
Résistons tous, mes frères, au volant de nos caisses.
À la maréchaussée, allons botter les fesses.

Bref, mes amis au levier de vitesse épais, avec ce que je viens de vous expliquer en deux mots, et après tout ce qu'on vient de vous pomper en trajet, comment voulez-vous qu'on ai encore envie de se faire sucer?

Moralité :

Quand sur la belle route de tes congés payés.
Après des kilomètres à l'essence surtaxée.
En ligne de mire enfin le péage apparaît.
Enfer et damnation! Le budget a morflé!
Inutile de rêver, range ta queue livide.
Te faire sucer serait vain, car tes bourses sont vides.

Merci.

jeudi 21 avril 2011

Les super-héros ?

Ah, mes amis aux super pouvoirs extra-pelviens ! Toutes ces histoires de super héros, c'est de la gnognotte.
Toutes ces projections ne sont que des fantasmes issus d'esprits tordus venus tout droit d'individus sordides à la personnalité atrophiée. Ces personnes tristes sont conscientes de la médiocrité de leur quotidien et ne pensent qu'à une chose : y échapper par héros interposé.

Par exemple: prenez Batman. Batman, un héros pathétique, qui serai capable de voler au secours des plus faibles, et puis quoi encore ? Si c'était vrai, l'abbé Pierre aurait un téléphone portable incorporé, des ailes de pigeon agrafées dans le dos et un ventilo dans le cul !

Pareil pour Wonder Woman, si une super radasse existait, on le saurait, jusque là les seules méga poufiasses que je connaisse sont les 3T. C'est pas mère Thérésa qui irait s'enfiler un string à paillettes sur le fion, un soutien-gorge rouge gland et un diadème de reine des gouines sur le front !

Non mes amis, il ne faut pas être dupe, les super héros sont une utopie dont il faut se débarrasser le plus vite possible.

Moralité :

Il faut garder la tête froide, accepter la vérité.
Eviter l'évasion facile qui souvent nous fait dérailler.
Les hommes en fait n'ont pas le choix,
Ils comptent sur eux et puis voilà.
Imaginer le surnaturel,
N'est que doux soupir de pucelle.
Le rêve ne sera jamais ton ami,
Ton seul allié, c'est ton goumi.

Merci.

lundi 18 avril 2011

Pourquoi est-ce si difficile de gérer sa vie privée quand on est un personnage public ?

Ah ! Mes amis aux parties privées, accessibles au grand public... Éternel débat que cette question !

Faut-il, en effet, se blinder de l'extérieur, quand c'est justement celui-ci qui vous fait vivre ? C'est vrai qu'on ne fait pas attention, et si on ne fait pas attention on peut jouer gros.

Je pense, par exemple à ces curés qui sont tombés. Ces messieurs qui parfois se trompent, en emmenant avec eux les enfants de chœur non pas devant l'autel de Dieu, mais devant l'hôtel de passe, les étourdis. Bien que quelquefois, on se demande si les règles étiquetées par l'Église sont bien précises... Je pense qu'il y aurait beaucoup moins de dérapages, s'il était écrit noir sur blanc sur le manuel du parfait curé, qu'il est strictement interdit de planter son cierge dans le bénitier de son prochain. De plus, je pense qu'il serait également bon de changer les termes employés pour licencier un prêtre. C'est vrai que c'est idiot de donner le même nom à la punition qu'au délit : Arrêtons de défroquer ! Mais attention, en politique c'est différent.

Un exemple historique nous a montré que le mélange du publique et du privé pouvait contenter tout le monde. Car finalement, tout c'est bien terminé pour Bill Clinton et Monica. Il a pu finir son mandat de président, elle est devenu riche et célèbre en écrivant un livre. J'espère seulement que c'est elle qui a écrit son bouquin et que les dés ne sont pipés. Enfin, ça m'étonnerai quand même, quand on a comme elle un don naturel pour la plume, on n'a rien à prouver à personne. Ce qui reste de cette histoire, c'est une nouvelle astuce pour ranger ses « havanes » quand on a plus de caves à cigares. Et cette blague, je la trouve un peu idiote. Comme quoi l'ancien président appelle son sexe « Insky » quand il rigole ! Tout ça parce que, quand il a rit, Clinton, il lève Insky...

Bref, le mélange public et du privé, c'est dangereux, mais ce n'est pas mortel.

Moralité :

Faites bien attention, il faut se cloisonner.
Votre jardin secret ne doit pas être piétiné.
Donner à tout le monde, ça fait moins pour chacun.
Certains en savent quelque chose, tout sec sont leurs raisins...
Et que vous soyez star, quidam, ou politique,
Évitez de confondre le privé et le public.
Il y a des exceptions à ce que j'explique,
Je sais que ce blog n'est pas privé de public.
Qu'on balance en public des enquêtes de privés,
Que certaines femmes publiques pimentent les vies privées.
Mais tout cela reste du domaine exceptionnel,
On est bien plus pénard dans le confidentiel.
Même en démocratie, la foule vous nique.
Protégez-vous le fion, ce n'est pas une raie publique.

Merci.

samedi 16 avril 2011

Pourquoi est-ce que le phoque de "la Complainte du Phoque en Alaska" s'ennuie à ce point-là ?

Ah, mes amis ! Les phoques ! Hé oui, pourquoi ces êtres adorables, pacifiques, qui apparemment ont tout pour être heureux, sont souvent pris de mélancolie aigüe ? Ah oui, pourquoi ?

Et bien figurez vous que dans les magnifiques contrées où ils résident, les activités sont plutôt réduites et que, il est vrai, l'hilarant concours de celui qui arrivera le plus vite à se geler les couilles sur la banquise n'arrive qu'une fois par an. C'est dommage.

Il y a bien les chasseurs qui, plusieurs fois par an cette fois, viennent sur les terres gelées du Grand Nord ou du Petit Sud pour carresser le crâne fragile de leurs bébés à coup de matraque afin de les décalotter de la tête au pied pour faire des slips à d'autres phoques, ceux de Paris, cette fois, qui useront leur matraque également pour malmener d'autres fourrures.

Bien rares sont ceux qui ont eu la chance de rencontrer sur leur passage la belle Brigitte Bardot... Brigitte Bardot, qui au cours de sa carrière s'engagea tout d'abord comme sex-symbol dans les années 60, puis comme fermière tropézienne dans les années 70 et 80, pour enfin partager son temps dans les années 90 entre deux causes animalières : celle des phoques de l'Alaska et celle de l'extrême-droite.

Un jour B.B. se faufile sur la glace pour arrêter le massacre sous le regard alangui des manchots, le lendemain donc Brigitte s'enfile, sans grâce et au fond du terrier, un ringard abruit et facho. Donc disais-je, ils furent peu d'élus au royaume de la bite gelée dans la paume de B.B. Rien à faire, personne à voir, un physique de chiottes à assumer... Rendez-vous compte : un corps sans bras ni jambes, couvert de poils et de gras, le tout surmonté d'une tête aussi mièvre que le regard est crétin (les fans de Brigitte Bardot se régalent, je vous dis bonsoir !). La vie n'est pas facile pour les phoques. Et, et, j'en veux pour preuve, regardez, cette lettre écrite en 1989 par un membre de la communauté phoquienne :

Cher Docteur,

Ma vie est un enfer de glace et d'incompréhension.
Hier encore, la fédération laponne de freesbee a rejeté ma candidature.
Et comme un malheur n'arrive jamais seul,
depuis la trente-sixième fois depuis le début de la journée,
Barnabé l'ours blanc, qui habite à côté de chez moi, m'a enculé.
Ca devient lourd, surtout quand on sait qu'il est huit heures du matin.
Pour toutes ces raisons, docteur, et pour bien d'autres encore,
je me vois dans l'obligation de décliner votre invitation de novembre,
et ce pour la bar-mitzvah de Gontran, votre ami l'iguane polonais :
j'ai en effet décidé de mourir.
Dès demain, je me rendrais chez un tanneur,
à qui je demanderais de prendre ma peau et ma fourrure
pour faire une paire de moufles et un slip,
que j'offre gracieusmeent à Björk pour les gants,
et à Boris Elstine pour le cache-burnes.
Adieu monde cruel et glacé,
Adieu docteur...

Signé (sobrement) :
le phoque

Témoignage poignant et triste ! Qui malheureusement est le reflet de la vie de bien d'autres encore.

Moralité (car il en faut une) :

Être phoque de nos jours est loin d'être facile.
Tous les jours à moins trente, on se gèle trop la pine !
L'hiver comme seule saison amène la dépression,
Il faut lutter sans cesse pour se réchauffer le fion.
La vie est un calvaire, ça ne peut plus continuer.
On en a plein les poils, il faut dire : ça fait chier.


Merci.