samedi 30 juillet 2011

Docteur, pourquoi faut-il réformer le système carcéral ?

Ah, mes amis à la joie impressionnante, c'est une question de dignité humaine que vous soulevez là. Il est vrai que le système carcéral est entièrement à revoir, chez nous comme ailleurs : la rétention est devenue beaucoup trop laxiste, bordel !

Sachez que les prisonniers ont droit à une télévision dans leur cellule ! Qu'ils ont l'eau courante, et que la paille de leur couche a été remplacée par des matelas confortables ! Bref, c'est la chienlit. Bien entendu la punition perd toute sa raison dans ces conditions de luxe extrême, les petits nouveaux ne se font plus systématiquement taquiner le terrier, comme le veut la tradition ancestrale de la confédération des bagnards de l'ordre de l'oignon qui fume. Seul espoir, mon doux ami, que toutes les prisons s'alignent sur le modèle chinois.

La Chine, seul pays à avoir compris que c'est par l'humiliation et les mauvais traitements que l'on remet une brebis égarée dans le droit chemin, et pas avec compréhension et douillets divans qui font des geignards dépravés tous justes bons à faire le tapin. Non, ça suffit, l'univers carcéral à la main molle et le doigt gourd, et comme disait Paco Rabanne, "il faut une phalange agile au bout d'une main rigide pour être crédible dans un univers d'hommes."

Moralité :

La taule, ce n'est pas pour rigoler.
Ça doit être dur et faut en chier.

Merci.

jeudi 21 juillet 2011

Docteur, c'est quoi l'exception culturelle française ?

Ah, bien sûr, j'ai explication ! Mais comment pouvait-il en être autrement ? Votre pays magnifique justifie à lui seul l'exception, sinon culturelle, tout au moins géographique...

Vous savez, mes amis aux couilles exceptionnellement cultivables, la mondialisation est en fait un fléau d'avilissement par le bas. Si vous voulez la planète comme client, il faut faire appel à ce qui fédère le plus chez tout le monde; alors ne vous étonnez pas que le camembert soit rejeté par tous ces manants qui n'acceptent de n'avoir dans la bouche et d'odorant que ce qui est estampillé "made in chez moi" et qui minaude à la vue d'un clacos qui refoule et qui est coulant, ou bien d'un gland enflé qui sent le parmesan. Nein, nein, nein, mes amis.... Toutes ces petites tapettes hors-hexagone ne peuvent pas comprendre l'exception culturelle française. Comment peut-on apprécier la saucisse de Francfort et les rillettes de chez Simone ? Des rillettes préparées avec amour, lard et passion ? Comme un slip de pute, y a du gras, y du fion.  Bref il faut savoir se battre, il faut savoir dire non quand la coupe est pleine.

Et a tout cela il y a une moralité !

Ne nous laissons pas faire !
Nous devons être fier,
Quand arrive le diktat,
Les règles et les quotas.
Il faut rester debout !
Être confiant en nous.
Personne ne nous dira
Ce qui est bon ou pas.
Nos bières, nos saucissons,
Nos vaselines, nos dindons,
Ont un gout prononcé,
Il faut pas les renier.
La mondialisation , on en a rien à foutre !
Il faudra être fort pour nous mettre le doute.
Allons enfants de la patrie !
Le jour de gloire est arrivé.
Frottis, fellation, sodomie :
Ça monsieur, c'est français !

Merci.

mercredi 20 juillet 2011

Pourquoi les esprits nous hantent ?

Ah, mes amis à l'esprit hanté et au corps entier, je suis hyper jouasse que vous me posiez la question. Figurez-vous que vous venez de poser une question de fond. Qu'est-ce que les esprits viennent faire chez nous les vivants ? Et bien ils cherchent tout simplement une nouvelle maison. Vous resteriez-vous enveloppé dans un macchabée qui sent la poiscaille au bout de trois jours ? Non ? Et bien les esprits non plus. Ce n'est pas parce qu'on est immatériel qu'on est forcément con.

De plus, il faut pas négliger qu'un petit retour sur Terre ne doit pas être désagréable. Imaginez un esprit qui a vécu qui a vécu dans un corps sage. Merde alors ! Toute une vie de privations et puis on s'envole ? Ce n'est pas juste ! Hanter devient alors synonyme d'une deuxième chance de s'éclater. Je suis sûr que l'esprit de l'Abbé Pierre n'attendait qu'une chose : que le vieux claque. Depuis l'hiver 54, toute sa vie n'était qu'une succession de bonnes actions, de bons sentiments, d'actions bénévoles, et cætera, et cætera. Jamais un petit abus de bien social ! Jamais une petite enveloppe pour trafic de shit ! Jamais un petit litron volé aux Restos du cœur ! Jamais une petite gâterie forcée au foyer des jeunes filles mères battues et syphilitiques ! Du coup, l'esprit cherche un nouvel habit. Il s'en va, se faufile, dans une demeure qui, a priori lui apportera plus de frissons que d'ennui et sa dose d'émotion, au lieu d'une triste vie. S'introduire chez des gens qui sont riches ou bien beaux et bien tentant quand on sort du ghetto.

Par contre, c'est vrai qu'il faudra se méfier de ce qui des esprits voudraient des esprits parti tirer. Ces charlatans occultes qui font foret fructifier le mal-être des gens, leur insécurité. A ces bâtards, dites NON ! Qu'ils pourrissent leur fion. Ne faites confiance qu'aux femmes, qui au milieu de la foule, vous proposerons, pour cent balles de lire dans vos boules.

Pour conclure : je dirai qu'il ne faut pas en vouloir aux esprits
Car c'est juste pour se distraire qu'ils viennent hanter nos nuits.
Mettez-vous à leur place : une vie sans passion est une vie foutue!
C'est comme un corps sans nœud qui passe une vie sans cul !
Une vie exemplaire
Est une vie trop austère.

Merci.

(note : comme toujours, si vous avez les numéros d'émissions non datées, n'hésitez pas à me les mentionner en commentaire et/ou sur le dwidder @helmutperchut ... danke schöne ! Cette explication-ci, comme le mentionne le libellé ci-dessous, est tirée d'LMDMF 656 "Niluje médium")

Docteur, pourquoi la cuisine exotique est-elle aussi tentante ?

Et oui, mes amis*, les contrées lointaines sont difficiles d'accès pour le commun des mortels. Que reste-t-il donc pour une évasion sans pour autant bouger son derche ? Les papilles gustatives !

Vous pouvez sans problème retrouver la chaleur et tout le piquant de l'Amérique Latine en dégustant un délicieux chili con la viande; un plat typique qui se rappelera volontiers à votre bon souvenir le lendemain lorsque vous aurez l'impression que votre pastille chante la cucaracha. Même soucis, aux consonnances maghrébines cette fois, lorsque vous aurez l'impression de chier un parpaing après avoir bouffé des feuilles de brick.

Mais enfin, enfin, ne nous égarons pas en considérations sanitaro-douloureuses. Et c'est vrai, bordel de Tyrol ! Il est quand même plus jovial de s'enfiler une tajine ou un couscous-merguez avec pour vous servir votre radasse préférée habillée en Geisha, qu'un oeuf-mayo-poulet noyé gros rouge par Ginette, mégère ménopausée de service au bar-tabac.

Enfin quoi, soyez fou et prêts à l'aventure gustative de la mondialisation du palais. Je crois même pouvoir affirmer, mes amis*, que le rapprochement des peuples peut se faire à coups de langue bien senties dans les spécialités locales.

Moralité, car il y'en a-t-une :


Il ne faut pas avoir peur !
Le voyage est à portée de frigo !
Pizza, raclette, tajine,
C’est schöne et ça tient chaud.
Stoppons les préjugés !
Steak-frite c’est périmé :
Goutez aux cassoulets,
Sushis, taboulé...
Il faut rester ouvert !
Dispos à découvrir ;
C’est vrai pour la cuisine
Autant que pour bien jouir !

Merci.
(*Dédicace spéciale à Mathilde, dont j'attends avec impatience un couscous merguez servi par ses soins, habillée en geisha)

mardi 19 juillet 2011

Docteur, pourquoi le gigantisme américain ?

Ah, mes amis à l'appareil génital maxi-format, vous avez mis le doigt sur un problème de société qui n'a l'air de rien comme ça, mais qui en fait a des répercutions sur l'ensemble du comportement humain.

C'est un peu comme quand Rocco a le gland qui gratte, toutes les pétasses du hard ont la chaude-pisse. Les américains, donc, ont un problème : chez eux, il faut que tout soit démesuré. Les burgers sont gigantesques, leurs voitures sont monumentales, leurs obèses sont plus obèses que les nôtres et leur connerie est surdimensionnée.

En fait, mes amis, il s'agit d'une pathologie bien connue chez les populations pleutres : cacher sa vulnérabilité en essayant d'effrayer son entourage d'une façon primaire. Il est courant chez l'américain, comme chez le bousier, de produire une plus grosse merde que son voisin, pour confirmer sa puissance. Bref, vous l'avez compris, c'est en portant de grands chapeaux que les yankees pensent que personne ne s'apercevra de l'étroitesse de leur esprit.

Moralité :

Il est crétin de vouloir, par la taille, s'imposer.
Parfois une grosse voiture cache un petit passager,
Comme un épais fourreau une toute fine épée.
Si tu es sûr de toi, tu n'as pas à prouver
Que tu es gigantesque en te faisant gonfler.
Sache qu'une arme efficace est une arme calibrée.

Merci.

dimanche 17 juillet 2011

Docteur, à quoi servent les bras ?

Ah, mes amis aux impeccables membres supérieurs, voilà une question peu banale que mérite franchement le détour. Est-il absolument nécessaire, de nos jours, d'avoir des bras ? Et bien, figurez-vous que la réponse est NON !!! C'est utile, certes, mais pas indispensable.

Car, en fait, à quoi servent ces deux extrémités munies de mains ?
A mettre des baffes aux casse-couilles ? Il vous reste toujours le coup de boule.
A faire la cuisine ? Achetez une radasse qui sait cuisiner.
A vous palucher ? Utilisez la fonction numéro 2 de la radasse précédemment mentionnée.

Vous voyez bien que les mains ne sont plus vitales ! Néanmoins, je vous le concède, serrer la main d'un ami ou le sein d'une belle par procuration n'a vraiment rien de folichon. C'est pourquoi, faites attention, si vous avez la chance d'avoir conservé vos deux extrémités, cela me servira de moralité :

Ne perdez pas de temps avec ces outils, ô combien précieux, que sont vos bras et vos mains !
Joignez- les, tendez-les, soyez généreux sans retenue.
Des épaules jusqu'aux doigts, faites en sorte qu'ils soient vus.
Sortez-les donc du nez, et a fortiori, du cul.

Merci.

Illustration volée sans les mains à Berth. www.berth.fr

lundi 11 juillet 2011

Docteur, pourquoi ne faut-il pas se doper quand on est sportif?

Ah, mes petits amis, si vous saviez comme ça me fait plaisir que vous soyez conscient de ce mal qui ronge notre beau milieu sportif. Et comme disait le baron Pierre de Coubertin, qui savait trouver des images : "le sport olympique est un appareil génital parfait, le dopage est sa chaude pisse".

Il ne faut pas oublier que le sport représente pour les enfants du monde entier un exemple de rigueur, d'amour du travail et de l'effort 1000 fois répété dans la douleur la plupart des fois avec comme seul objectif le dépassement de soi-même et de ses concurrents s'il y a compétition, bien sûr. Le sport est beau et doit le rester, en aucun cas il ne doit être pollué. On les connaît, on les voit venir tous ces emparés de la victoire à moindre effort. Tous ceux qui pensent qu'il est envisageable de gagner les cuisses gonflées à coup de piquouses ou les poumons dilatés à renfort de ventoline, tout ça le regard ahuri, les mains qui suintent, le short gonflé. Sachez les reconnaître du premier coup d'œil et battez-les à mort, ces bâtards, c'est tout ce qu'ils méritent !

Sans compter que c'est dangereux pour la santé, très dangereux, d'essayer de gonfler ses performances au-delà de ses compétences. Regardez par exemple le cas d'Amélie Moresmo. Certes ses résultats sont montés en flèche mais à quel prix ? A force de prendre de la testostérone, les balles qu'elle avait dans le short sont passées dans la culotte. Dernier exemple enfin pour bien montrer que ça ne sert à rien de vouloir aller plus vite que la musique : rappelez-vous de Monica Lewinski. Une petite stagiaire comme mes autres qui finalement s'est retrouvée dehors en premier. Hé oui, sa dose quotidienne de concentré de président ne l'a pas aidé, qu'on se le dise.

Moralité :
En toute circonstance, il faut demeurer fier de soi.

Reste pervers, obsédé, mais en tout cas ne triche pas.
Comme tu le sais, un accident est si vite arrivé.
Ne fais donc pas de sport, c'est vraiment trop risqué.

Merci.


Images piquées (ah ah) aux site dopage.info et 24heuresactu.com

mercredi 6 juillet 2011

Docteur, c'est quoi la paternité ?

Ah, mes amis qui, comme des fils que je n'ai jamais eu, m'apportent une interrogation métaphysique sur le : "Et pourquoi pas me faire stériliser ?"...

Comme sur le chemin, la paternité est une croix qui se portent en plusieurs étapes.

Primo, la petite enfance de votre progéniture. Pendant 3 semaines vous et votre radasse pondeuse vous émouvez du miracle de l'amour. En effet, c'est la grande interrogation : comment avez vous fait pour engendrer une créature aussi parfaite ? Vous, encore, physiquement, ça passe. Mais que vous l'ayez conçu avec cette vache qui vous sert de femme, c'est un vrai miracle que le gamin ai plus l'air d'un humain que d'un fœtus d'hippopotame mal avorté.

Bref, vous êtes là, avec madame en train de faire des gouzi-gouzi, areuh-areuh et, pour une raison qui reste toujours à déterminer, vous trouvez ça mignon. Le temps passe et finalement ça commence à bien faire la bave du lardon qui vous coule dans le cou... sans parler de la merde qui vous remplie les manches à chaque fois que vous lui changez sa couche à cet ingrat.

Arrive l'adolescence. Et là, d'un seul coup, tout se bouscule : le visage de votre progéniture se couvre de pustules. Là au moins, me direz-vous, votre femme se sent plus rassurée, enfin la chose lui ressemble. Des boutons qui se développe avec, parallèlement, une attitude d'emmerdeur qui plus d'une fois vous amène à réellement vous poser la question : "Est-ce que je lui pardonne d'être aussi con, ou bien je lui fait plaisir en accédant à ses volontés quant-il me dit :"Putain la vie est trop dégueulasse j'ai envie mourir" ?"

C'est vrai, après tout, pourquoi perdre autant de temps, alors que de façon évidente, avec la tronche qu'il se paye et la manque d'intelligence qui le caractérise, ce serai lui éviter bien des tourments et des déboire que de le faire piquer maintenant ? En faite tout cela ne s'arrange qu'à la majorité. Majorité où enfin vous pouvez vous en débarrasser et ça me servira de moralité :

Vous le regardez droit dans les yeux,

En lui disant, avec un sourire radieux :
"Apres 18 ans de déception et d'angoisse que ta connerie attise,
Ça me fait très plaisir : pour ton anniversaire, je t'offre cette belle valise."

Merci...
...et encore félicitations à Monsieur M... axime Natali !

Illustrations subtilisées à Yannick G, yannick-g.over-blog.com

lundi 4 juillet 2011

Docteur, pourquoi la beauté intérieure compte-t-elle plus que la beauté extérieure ?

Ah, mes amis ! Voilà un sujet qui, une fois de plus, est mis à l'honneur par la générosité qui vous caractérise ; puisque ça fait pour beaucoup d'entre vous plus de vingt ans que, chaque jour, vous vous astreignez consciencieusement à conserver votre beauté intérieure dans l'alcool.


Mais venons en au fait. Longtemps je me suis dis : mon petit Helmut, si tu es trop exigeant dans ton choix de radasses, tu risques de rester un bon moment seul dans ton lit, comme un bateau à quai, privé de voile, le mat aussi tendu que solitaire. Je vous assure que, plus d'une fois, mes nuits torrides avaient plus la saveur charcutière que florale. C'était pas trop du style : « Quand la tige du glaïeul fait enfin s'ouvrir la corolle du lys. Le pistil enchanteur du coquelicot rougit et le poids des senteurs s'enivre des échos de cette valse qu'accompagne jusqu'au pollen posé, le sons des cloches mélancoliques du muguet. » C'était plutôt du style : « Dans l'atmosphère glauque des rillettes avariées, un saucisson à l'ail, en silence, avançait. Tout droit est l'objectif de la chipolata. Vers la plat de boudins, d'où suint un liquide gras. Les terrines deviennent moites. La fête peut commencer, enfin il pique une tête dans le pâté forestier. »

En plus ce qui est bien avec les moches, c'est qu'une fois bien bourrées, je veux dire, bien saoules, vers quatre heures du matin, elles abandonnent leur vertu sur l'autel des sacrifices de vos principes. Bien sur avec le temps, ma tactique d'approche de la femelle a évolué. Pour avoir des filles très belles qui étaient susceptibles de dire non, j'applique une technique imparable du trois en un : « Rencontre / Préliminaires / Invitation à la saillie », le tout en une phrase : « Bonjour, moi c'est Helmut. Oh, t'es bonne » Suivi d'une caresse frontale, et hop, dans la chambre.

Alors, pour ceux qui ne sont encore familier avec tous les préliminaires, sachez que la caresse frontale est aussi appelée « coup de boule ».

Mais, au fait, à quoi sert la beauté physique ? Est ce qu'une belle âme a besoin de briller pour être touchante ? Est ce que la générosité a besoin de s'habiller de strasses, pour être efficace ? Non, les vraies valeurs besognent dans l'ombre pour œuvrer plus efficacement au grand jour. Et pur illustrer mon propos, je citerai le célèbre poème laotien, qui évoque de façon très éloquente le sujet :

« Oh toi, mon ami le pêcheur,
Ne commet pas l'erreur de choisir la morue.
C'est vrai qu'elle a l'œil vif et qu'elle frétille du cul.
Mais après trois bouchées, ta prise sera un souvenir et tu seras déçu.
Choisi plutôt le thon, au cœur de tes filets,
Car même s'il est con et souvent mal gaulé,
Il donnera à bouffer à toute ta maisonnée. »

Moralité :

De la beauté physique, tu dois te méfier,
Car elle est éphémère, et ne peut donc durer.
Je dis qu'il serait sot de voir dans l'emballage,
Un intérêt unique, sans ouvrir le bagage.
Vous constaterez maintes fois, plus l'étui est doré,
Plus le contenu, ma foi, a l'air fort désolé.
Souvent belle culotte à dentelles qui ondule,
cache une paire de fesses qui jouissent de ridicule.
La beauté intérieure n'est pas faite d'artifices.
Même sans être glitter, elle donne de la malice.
Bien sur, vous me direz, ne soyons pas maso.
A une belle plante, on peut arroser le pot.
C'est possible de trouver l'être presque parfait,
Beau et bon à la fois, mais n'oubliez jamais :
C'est dans l'éclat de l'œil, la qualité d'écoute et la justesse des mots,
Qu'on reconnaît toujours ceux qui sont vraiment beaux.

Merci.

Illustration de Philppe Geluck