
Faut-il, en effet, se blinder de l'extérieur, quand c'est justement celui-ci qui vous fait vivre ? C'est vrai qu'on ne fait pas attention, et si on ne fait pas attention on peut jouer gros.
Je pense, par exemple à ces curés qui sont tombés. Ces messieurs qui parfois se trompent, en emmenant avec eux les enfants de chœur non pas devant l'autel de Dieu, mais devant l'hôtel de passe, les étourdis. Bien que quelquefois, on se demande si les règles étiquetées par l'Église sont bien précises... Je pense qu'il y aurait beaucoup moins de dérapages, s'il était écrit noir sur blanc sur le manuel du parfait curé, qu'il est strictement interdit de planter son cierge dans le bénitier de son prochain. De plus, je pense qu'il serait également bon de changer les termes employés pour licencier un prêtre. C'est vrai que c'est idiot de donner le même nom à la punition qu'au délit : Arrêtons de défroquer ! Mais attention, en politique c'est différent.

Bref, le mélange public et du privé, c'est dangereux, mais ce n'est pas mortel.
Moralité :
Faites bien attention, il faut se cloisonner.
Votre jardin secret ne doit pas être piétiné.
Donner à tout le monde, ça fait moins pour chacun.
Certains en savent quelque chose, tout sec sont leurs raisins...
Et que vous soyez star, quidam, ou politique,
Évitez de confondre le privé et le public.
Il y a des exceptions à ce que j'explique,
Je sais que ce blog n'est pas privé de public.
Qu'on balance en public des enquêtes de privés,
Que certaines femmes publiques pimentent les vies privées.
Mais tout cela reste du domaine exceptionnel,
On est bien plus pénard dans le confidentiel.
Même en démocratie, la foule vous nique.
Protégez-vous le fion, ce n'est pas une raie publique.
Merci.
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