mardi 16 novembre 2010

A quoi servait Boris Eltsine ?

Ah ! A propos de Boris, camarades, le bilan est catastrophique.

Je vous rappelle que le communisme à quitté l'Union Soviétique sous l'ère Gorbatchev, et que c'est Boris qui a mis la faucille et le marteau dans le tiroir juste en-dessous du mausolée de Lénine.

La Grande Russie était pleine de promesses inavouées de liberté, de paradis et de grande consommation. Le moscovite comme son collègue plus bridé des steppes de l'Asie centrale se voyaient déjà faire la queue chez Prisunicof pour acheter des packs d'Heinekenovitch et enfiler sur leurs bites balkanes des Durexovski...

Mais que croyez vous qu'il arriva ? Et bien, tout ce petit monde a continué de faire la queue chez Quedalof pour acheter trente centilitres de Merdovska. Quant au préservatif, il doit se contenter de l'habituel gant Mapavovitch, importé clandestinement par la tante Olga à son retour d'Istanbul où, il faut dire, elle a vécu deux ans comme une princesse (elle faisait des pipes au gardien de prison, celui-la même qui enculait Brad Davis dans Midnight Express).

Bref : l'illusion du grand bonheur de la consommation de masse n'a pas fait long feu pour la grande majorité de ces crétins de l'Oural. Boris s'est donc installé doucement mais sûrement au pouvoir, prenant comme collaborateur direct le chef de la mafia de Moscou, Sergueï Djorkaev, et la dépouille mortelle de Youri Gagarine, mais ça c'était pour le fun.

Puis Boris s'est laissé quelque peu débordé par ses loisirs. Sa consommation de vodka est devenue quotidienne. Régulièrement, le président en est arrivé à s'enfiler plus quotidiennement plus que Léotard et Borhinger réunis. Son goût pour l'herbe de bison est maintenant supérieure à la passion qui anime mes lecteurs pour la sodomie. Y'a plus de bibine dans le bide d'Eltsine qu'il y a de cyprine dans le dindon d'une gouine.

Il fallait sonner l'alerte ! "La Russie est a genoux, et Boris l'encule !"

La mafia avait pris les commandes du pays, le Fond Monétaire International tenait Eltsine par les bourses ! Grosses bourses : dix milliards de dollars... L'avenir de la Russie post-Eltsine est aussi terne et morose que le cul des filles de joie de Vladivostok. Ces filles qui ont dans les yeux la langueur monotone des sexes occidentaux qui les culbutent pour dix roubles.

Mes amis, Boris a foutu la merde, la vraie Scheiße.

Moralité (car il y a une moralité) :

Dans les Balkans, l'espoir s'en va,
Eltsine a mis les russes aux abois.
Pour la Russie ça sent l'arnaque,
Boris lui a mis la tête dans le sac.
La Russie anesthésiée
Sous les relents trop avariés
Des renvois de Boris l'allumé.
L'avenir des russes est dans les stups :
Vive le bordel et vive les putes.

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